Emission du 8 janvier 2017, avec Jonathan Hayoun, réalisateur, pour parler du documentaire Sauver Auschwitz qui sera diffusé le mardi 24 janvier 2017 à 22h40 sur Arte
Catégorie : Mémoire et Transmission
100 mots de la Shoah
Emission du 18 décembre 2016 – Entretien avec l’historien Tal Bruttmann qui a écrit avec Christophe Tarricone Les 100 mots de la Shoah, paru dans la collection « Que sais-je ? » aux Presses universitaires de France.
L’Homme dans le plafond, une pièce de Timothy Daly
Émission du 11 décembre 2016 [rediffusion] – Entretien avec Isabelle Starkier, metteuse en scène, à propos de la pièce L’Homme dans le plafond de Timothy Daly.
Représentation exceptionnelle au profit de la Licra, le 16 décembre 2016 à 21h au Théâtre de l’Ouest parisien, Boulogne-Billancourt.
Le Mur de Lisa Pomnenka d’Otto B Kraus
A l’occasion de la parution du livre Le Mur de Lisa Pomnenka d’Otto B. Kraus suivi d’un essai de Catherine Coquio intitulé « Le leurre et l’espoir. De Theresienstadt au block des enfants de Birkenau », une rencontre est organisée mercredi 3 juillet 2013 au Centre national du livre avec Catherine Coquio, professeur de littérature comparée à l’université Paris VII. Nous rediffusons l’émission qui lui était consacrée
Mercredi 3 juillet 2013, 19h30
Rencontre du Centre national du Livre
Discussion avec Catherine Coquio, Annette Wieviorka et Pierre Pachet
Centre National du Livre
53 rue de Verneuil
75007 Paris
Tél : 01 49 54 68 68
Écrit par Otto B. Kraus Le Mur de Lisa Pomnenka a été initialement publié en 1995 en Israël sous le titre The Painted Wall. Il a été traduit de l’anglais par Stéphane et Nathalie Gailly.
Lisa Pomnenka est inspirée du personnage de Ditta qui est devenue la femme d’Otto B Kraus et qui était avec lui une des éducatrices du Block des enfants: elle avait obtenu du Dr Mengele des pinceaux et des couleurs pour peindre un des murs du Block. Ce mur figure le seul espace de liberté qui était donné à ces enfants et ces éducateurs: l’évasion et la Résistance par l’art, par la culture dans un monde par ailleurs déshumanisé.
L’ensemble du livre compose une méditation sur le rapport différent des enfants et des adultes à la vérité, à l’espoir et à la mort, sur l’aide réciproque qu’ils s’apportèrent malgré les incompréhensions, sur les pouvoirs et les limites de l’idée d’ « éducation », enfin sur le sens moral et la valeur pratique des gestes artistiques à l’échelle individuelle et collective.